J'errais sous le ciel Noir et azur
Lorsqu'une jambe, gentille, vint troubler mes poèmes,
Des yeux verts, défiant toute nature,
Des cheveux châtains, comme je les aime,
Vinrent sans ménagement m'ébahir
Me faisant même toucher le ciel,
Comme un Chien dans son sourire
Et dont les plumes sont arc-en-ciel.
Cet oiseau-là n'est autre que moi.
Et cette douce nymphe, incarnant la liberté,
Maé, dis le moi, que c'est toi...
Laisse-moi à ton âme m'abandonner.